Je viens de faire le lien entre la fin d'une chanson de Poésie Noire et le film Possession (Zulawski, 1981). J'ai trouvé ça drôle, mais ce n'est pas si important. Voilà pourquoi j'en parle ici : c'est totalement inutile, mais presque cool de savoir ça.
Et c'est une bonne occasion pour découvrir Pity For The Self, si ce n'était pas déjà fait, et apprécier la performance intense d'Isabelle Adjani (à chaque fois qu'on pense que ça va finir, c'est pas fini).
vendredi 3 juillet 2009
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
6 commentaires:
Ce film m'a rendu presque malade, avec cette crise d'hystérie démoniaque d'Adjani dans le métro, cet Allemand sodomite qui se fait crisser la tête dans les bécosses, et ces monstres qui végètent dans un appartement sordide.
J'adore ce film ! Quelle performance ! Mais je ne connais pas du tout ce groupe. Tu as l'oreille d'y avoir reconnu Isabelle !
Pat B
Moi aussi je l'adore, même si (parce que?) c'est traumatisant, comme dit Zhom.
Et je dirais que c'est un peu un coup de chance si j'ai pu faire le lien entre les deux, le film était tout frais dans ma tête. :)
BIN NON, PERSONNE NE PEUT CRIER COMME ISABELLE ADJANI!
C'est le même cris?
C'est-tu Pol Pelletier qui râle dans la station de Métro?
Patrick : Tu ne trouves pas? Il me semble que c'est beaucoup trop ressemblant pour être autre chose. Patrick? Es-tu le Patrick Brisebois ou un autre Patrick que je ne connais pas?
Symon : Non, personne ne râle comme Zabeladjani!
Publier un commentaire