samedi 19 décembre 2020

Les petits pliaisirs de l’existence, une semaine à la fois

 Je vais écrire un livre de croissance personnelle, ça va s’appeler Les petits pliaisirs de l’existence, une semaine à la fois (je sais, y’a une faute — je me comprends), j’ai déjà commencé à noter des idées!

 

En sortant de la douche, j’ai enfilé des vêtements chauffés par la sécheuse; c’était bon et je me suis sentie RICHE parce que j’ai une sécheuse et de l’électricité.

 

Élise est passée me prêter des bottes. Sont un peu grandes, mais elles sont 1000 % hydrofuges et elles ont du style. On a jasé au moins 10 minutes! (Là je parle d’Élise, pas des bottes. Ma précision n’est pas si niaiseuse que ça quand tu sais que je suis confinée et isolée avec mes chats depuis plusieurs semaines.)

 

J’ai reçu une carte postale des fêtes de Vincent-Simon qui pose avec sa famille : son chum, leur chatte, sa belle-mère. Ça m’a fait sourire, et je l’ai placée à côté de celle de l’an passé sur le frigo.

 

J’ai réussi à déloger le point noir que je cultivais depuis des mois. Je le voyais chaque fois que je me regardais dans le miroir, allo bon matin bonne nuit fais attention. Bye, orviens pas! 

 

Hier j’ai regardé des photos de tatouages de portraits de bébés ratés. Ça m’a beaucoup fait rire, ces choses-là sont inoffensives, gratuites et me font du bien et j’aime ça.

 

En gros, l’idée c’est de noter les bonnes choses que tu vis, sans jamais les modérer par une affaire plate qui vient avec, et sans lister les mauvaises choses qui t’arrivent. Le défi c’est d’essayer de pas devenir sarcastique. Moi je trouve ça bin dur, mais j’essaie de m’améliorer. Aussi, je tiens à dire que les exemples que je vous donne sont tous autobiographiques.

 

Bonne nuit!

 

 

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